Qui a tué Hugo Chavez ?

Détesté des « démocraties » occidentales, méprisé par les grands médias alignés, haï par les élites néo-mondialistes, Hugo Chavez constituait comme Kadhafi, Saddam Hussein, Assad, et Ahmadinedjad une épine dans les plans du Nouvel Ordre Mondial, tous ces hommes d’Etat ayant pour principal et unique point commun leur opposition affichée au sionisme et leur volonté de proposer dans leur pays et au-delà une alternative au Nouvel Ordre Mondial.

A peine réélu triomphalement malgré au Vénézuela les pronostics de défaites avancés lors des élections par les grands médias alignés occidentaux, Hugo Chavez, 58 ans seulement, a dû reprendre en urgence le chemin vers Cuba pour soigner la rechute de son cancer de la plèvre, un cancer visiblement de plus en plus avancé.

Depuis quelques jours, l'issue ne faisait guère de doute. En dépit de communiqués "officiels" rassurants, le Venezuela s'était préparé à la mort de son héros. Les allers et retours de Hugo Chávez entre Caracas et La Havane ne trompaient plus personne. L'état de santé du Comandante était désespéré. Fin février, on apprenait que "son insuffisance respiratoire n'évoluait pas favorablement". Le 1er mars, le vice-président Nicolás Maduro estimait : "Notre président lutte pour sa vie." La semaine dernière, des rumeurs affirmaient qu'il était cliniquement mort. Qu'à cela ne tienne, les Vénézuéliens sont sous le choc.

« Le Venezuela expulse l’attaché militaire des États-Unis »

Hier matin, le vice-président Maduro avait accusé les « ennemis historiques » du Venezuela d'avoir provoqué le cancer dont souffrait le président Chavez. «Nous n'avons aucun doute, arrivera un moment, dans l'histoire, où nous pourrons créer une commission scientifique, [qui révélera] que le commandant Chavez a été attaqué, avec cette maladie [...] Les ennemis historiques de cette patrie ont cherché un point faible, pour atteindre la santé de notre commandant». Deux fonctionnaires américains ont été aussitôt expulsés.

Le Venezuela a décidé d’expulser l’attaché militaire des États-Unis David del Mónaco, à l’issue d’une réunion des chefs politiques et militaires du pays à Caracas. « Il a 24 heures pour quitter le Venezuela », a indiqué le vice-président

Cette décision s’explique par les tentatives de M. del Mónaco de déstabiliser la situation dans le pays. Un peu plus tard, le ministre des Affaires étrangères a fait état du renvoi d'un autre fonctionnaire américain, pour conspiration.

En effet, depuis quelques années la malédiction qui s’abat sur les grands dirigeants indépendants et opposants aux élites pro-Nouvel Ordre Mondial disparus prématurément en plein exercice fait davantage penser à un plan concerté qu’à une succession incroyable et ininterrompue de coïncidences fâcheuses !

O.M.. Un grand homme ne meurt jamais, il dort… Et la lutte continue !