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LOSAKO
18 février 2007

LOSAKO TV: Edith-Lucie Bongo "Tito" sort de l’hôpital


envoyé par losako

Tout le monde en parle... Fatigue, folie ou maladie ?

La première dame du Gabon, Edith-Lucie Bongo, est sortie de l'hôpital le 27 janvier alors qu'elle y était hospitalisée pour des soins depuis presqu'une semaine à Paris. Après une débauche d'énergie (?), elle a dû faire un tour chez le docteur.

O.M...éclaire l'obscurité

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Commentaires
D
Il faut arrêter toute cette hyprocrisie !!! Sassou pleure et alors ? Hein, qd on pense que des millions de congolais ne sont pas payés pendant que notre cher président achetent à tout va des immeubles sur paris. Il envoie sa fille au maroc se faire soigner auprès de 5 professeurs, alors que des millions de congolais n’ont rien à manger et meurent à petit feu. Ce n’est que justice et tout se paie ici bas. Je suis désolée, mais je n’oublierais jamais la guerre de 97. Ou moi j’ai perdu toute ma famille, mon père, ma mère, mes frères. Je n’ai que du mépris pour cette famille maudite. Pendant qu’il se battait pour récuperer le pouvoir que lissouba lui avait ravi et toute légalité, les congolais mouraient, et sa famille elle etait où ??? Sous les bombes, je crois pas. Peuple congolais vous avez la mémoire courte.<br /> Ce n’est que justice, il pleure sa fille, il est malade, qu’il se réjouisse, car il ne va pas tarder à aller la rejoindre.<br /> <br /> Et cela ne sera qu’une excellente chose. En 30 ans de règne, qu’a t il fait pour nous ?<br /> Des orphelins, qui souffrent depuis maintenant plus de 11 ans. Arrêtes avec vos condoléances hypocrites. Elle n’y était peut etre pour rien mais on paie avant de partir. Cette femme, certes tres belle, qui se shootait, qui adorait les fetiches, et qui portait des couches culottes a mal fini.<br /> C’est triste certes, mais cela ne m’atteint pas
C
C LE PLUS BEAU JOUR DE TOUTE MA VIE <br /> Je suis heureuse de voir la famille sasou en deuil. Le jour ou j'ai appris la mort d'Edith j'ai sabré le champagne. Et voir sassou pleure cela me réjouis le coeur. Et oui Mr le tout puissant, cela n'arrive pas qu'aux autres. Vous comprenez la douleur de vos compatriotes que vous tuez chaque jour à petit feu. <br /> Sans compter le pays que vous avez mis à terre !!! <br /> Il y a une justice sur cette terre. Elle est partie, même si elle n'y est pour rien, les enfants parfois paient la méchanceté de leurs parents. Cela fait drole et plaisant de voir le tout puissant, soutenu par deux femmes. <br /> <br /> JE SUIS TRES HEUREUSE.....
R
C'est triste, personne n'aurait imaginé que la mort ait eue raison de toi. Toute l'Afrique te pleure.On espérait te voir vaincre cette maladie qui a tant fait parler d'elle et te voir reprendre ton combat( Enfants déshérités et orphelins, malades de SIDA, hélas,hélas. Que la terre de nos ancêtres te soit très légère EDITH LUCIE BONGO. Que ton corps repose en paix, que ton âme parvienne jusqu'au Père Céleste et que les portes du Paradis s'ouvrent à toi. Le BENIN te pleure.
N
je vs pleure maman edith tu a fait pour le gabon un héritage d"amour et tu a combatue au prés de tn epoux pendant 19ans nous ne devons par nous découragé que Dieu t'ouvre les portes du paradis je t'aime MAman
P
De Paris, Wilfrid PICKENE lance un slogan pour la réélection du Président Sassou :<br /> Avec Denis Sassou N’Guesso, c’est<br /> Le changement dans la continuité :<br /> Oui, nous le ferons !<br /> “Yes, we’ll do it”<br /> <br /> Obs. Quel était le sens de votre lettre ouverte au Président Sassou ? <br /> WP > J’ai écrit cette lettre en réaction à l’effervescence qui agite le Congo autour de la candidature de Denis Sassou N’Guesso pour les prochaines élections présidentielles.<br /> Il s’agissait pour moi de réagir face aux opposants à Denis Sassou N’Guesso qui, à mon sens, tiennent un discours peu crédible. J’ai voulu rappeler que ces personnalités avaient eu, par le passé, des responsabilités au sein même du gouvernement de Sassou et que, alors, ils n’avaient pas incarné le changement qu’ils prônent aujourd’hui. Je ne les crois pas inspirés par des valeurs fortes et les vues profondes nécessaires pour accéder aux fonctions suprêmes et, surtout, pour porter le Congo à la modernité.<br /> J’avais à l’esprit une autre considération et je m’adressais là à mes concitoyens plus directement. Toutes et tous se souviennent de la grande et tragique erreur de 1997 où, après le départ de Denis Sassou N’Guesso de la gouvernance, nous avons vu notre peuple se déchirer en luttes fratricides. Je supplie aujourd’hui mes compatriotes de ne pas retomber dans les mêmes errements : qui d’autre que Denis Sassou N’Guesso peut assurer la paix et les conditions d’apaisement indispensables à la reconstruction du pays ? Qui d’autre pour assurer les conditions d’une vraie alternance ? Il en est le seul candidat capable, à n’en pas douter, et les autres ne feraient que replonger le Congo dans le chaos et l’horreur. C’est un point sur lequel on ne peut transiger. <br /> Mais dans ma lettre ouverte, j’ai également voulu réagir face à ceux qui réclament à tout prix la candidature de Denis Sassou N’Guesso. J’ai voulu leur dire qu’ils se trompent de combat et que, au lieu de vouloir se substituer à la décision intime de Denis Sassou N’Guesso, ils devraient plutôt se concentrer à défendre les idées, le projet et le bilan du Chef de l’Etat devant les Congolais. En un mot, je les rappelais à leur devoir de militant.<br /> Ma prise de position s’explique par la nécessité qu’il y a à ce que la réélection de Sassou soit portée par un véritable plébiscite populaire, qu’il nous faut rechercher l’unité la plus forte et la plus massive autour du Président pour lui permettre de faire mieux, de faire plus vite et d’être plus efficace encore. Les appels à la candidature de Sassou ne sont pas utiles dans ce cadre là et, au contraire même, suscitent plus de divisions qu’ils ne rassemblent autour d’un projet commun de société.<br /> Voilà quel était le sens de ma lettre ouverte.<br /> <br /> Obs. Vous visez une nouvelle fois des responsables politiques, mais pourquoi alors avoir écrit au Président lui-même ?<br /> WP > Il s’agissait d’une lettre ouverte, son but était donc d’être lisible par tous. Mais c’était aussi une façon de placer Denis Sassou N’Guesso devant ses responsabilités, même si je sais qu’il n’a pas besoin de moi pour les mesurer. <br /> Pour moi, la réélection de Denis Sassou N’Guesso est une nécessité absolue pour le pays, ne serait-ce que par les conditions de paix qu’il est seul capable de nous assurer. C’était donc une façon de lui rappeler tout l’espoir que moi et beaucoup d’autres plaçons en lui.<br /> Obs. Vous soutenez donc la candidature de Denis Sassou N’Guesso pour un nouveau mandat ?<br /> WP > Bien entendu ! D’autant que je sais que le prochain mandat de DSNG sera sous le double signe de la continuité et du changement :<br /> La continuité, d’une part, dans une politique qui porte ses fruits et que nous devons conduire jusqu’à son aboutissement. La continuité d’un projet fort, tourné vers l’avenir. <br /> Le changement, d’autre part, par l’abolition de certaines pratiques archaïques qui persistent dans notre pays du fait de responsables en qui, à juste titre, nos concitoyens n’ont plus confiance. Le prochain septennat verra une vraie réforme du système politique et le renouvellement d’une certaine classe d’hommes politiques dont je ne peux que me réjouir. <br /> La politique fabrique des images :<br /> > C’est l’image du coach, qui reste le même parce qu’il est bon, du même système de jeu t parce qu’il est efficace avec le recrutement de nouveaux joueurs pour apporter un sang frais…<br /> C’est cela que résume un slogan de campagne, dont je vous offre en quelque sorte la primeur : avec Denis Sassou N’Guesso, c’est « le changement dans la continuité ». Ou, si vous préférez une version inspirée par le nouveau Président américain : « Oui, nous le ferons ! » (« Yes, we’ll do it ! »)<br /> Obs. Que pensez-vous des accusations qui, avec d’autres Chefs d’Etat africains, ont visé Denis Sassou N’Guesso ?<br /> WP > A vrai dire, je n’y prête pas beaucoup d’attention. Je sais d’où viennent ces accusations, elles ne sont pas nouvelles, et quel but elles recherchent… Elles cachent à mon sens une manœuvre de déstabilisation et sont à l’évidence instrumentalisées. Je ne m’étendrais pas davantage sur cette question, non pas qu’elle me gêne, mais parce qu’elle m’amène sur un terrain qui n’est pas le mien. J’engage simplement les Congolais à se demander à qui ces accusations profitent…<br /> <br /> Obs. Que pensez-vous du mandat d’arrêt international délivré à l’encontre du Président Soudanais ?<br /> WP > A chacun son idée. Mais à propos du Président Soudanais, je voudrais rappeler la dangerosité qu’il y a à remettre en cause l’immunité dont jouit un Président en exercice. Je crois qu’il y a là un excès de zèle de la part de la cour pénale internationale qui ne devrait pas intervenir à ce point dans la gouvernance d’un pays. Cela peut être extrêmement dangereux pour la stabilité même du pays. Cette décision de justice me paraît donc outrepasser les prérogatives d’une cour, fusse-t-elle internationale, et pourrait avoir des conséquences dramatiques. J’y suis pour cette raison tout à fait défavorable. <br /> Obs. Quelles sont les raisons exactes de votre exil alors que vous n’êtes pas un opposant à Sassou ? <br /> WP > J’ai été clairement victime d’une lutte pour un leadership local dans la région de Pointe-Noire. Il s’agit, hélas, d’une histoire assez classique : j’avais acquis, à Pointe-Noire, un certain poids dans le paysage politique qui m’a rendu suspect et sans doute gênant aux yeux de certains dirigeants locaux. Vous devinez la suite… J’ai été brutalement écarté par de basses manœuvres politiciennes et tenu à l’écart en France.<br /> Ma situation présente est équivoque, elle est ambigüe. Je suis [comme vous le soulignez] en exil de mon pays alors même que j’ai toujours soutenu le Président Sassou et que je reste un de ses militants les plus convaincus. <br /> Alors, qu’est-ce que mon histoire révèle ? <br /> <br /> Au-delà d’une lutte d’influence et de pouvoir, je crois avant tout avoir été victime d’une lutte entre deux postures politiques : une posture que je qualifierais d’ « opportuniste » contre une posture « militante », de laquelle je me réclame. <br /> - la posture « opportuniste » est celle malheureusement trop connue de ces dirigeants qui font passer l’intérêt personnel avant celui de la nation.<br /> - la posture « militante », celle d’où je viens, est au contraire marquée par le désintéressement, par la foi dans un projet collectif et le désir de se mettre au service de ses concitoyens.<br /> <br /> Maintenant, mon ambition n’est pas de lancer un procès ou de pointer du doigt tel ou tel responsable. Je veux avant tout faire progresser les mentalités et que, finalement, ma propre histoire serve mon pays, justement en promouvant cette figure du politique militant, véritablement dévoué à la chose publique et non pas à son ambition personnelle.<br /> <br /> <br /> Propos recueillis par Jean Chrysostome NDZIONA
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